effectivement, ça laisse...perplex!En pricipe quand tu arrives au maximum les choses redescendes, mais ou sommes nous ?

effectivement, ça laisse...perplex!En pricipe quand tu arrives au maximum les choses redescendes, mais ou sommes nous ?
gegyx a écrit :Dmitri Peskov a toutefois souligné que les "affaires familiales" du couple Macron "ne nous regardaient pas".
les forces de police ne sont pas des anges, pour autant je doute une intentionnalité de faire perdre un oeil, faut pas exagérer tout de même!en lui faisant perdre un oeil intentionellement
sûr que je n'ai pas une mémoire d'éléphant, mais je n'ai pas le souvenir de cette intentionalité. Tu as la video?mémoire courte ?
https://www.ouest-france.fr/societe/pol ... ns-6113596339 GLI- F4 ont été utilisées. Nous sommes le seul pays européen à les utiliser.
https://www.ouest-france.fr/societe/gil ... ls-6207587Lanceurs de balles de défense : nos voisins européens les utilisent-ils ?
https://www.courrierinternational.com/a ... les_231104Société. Les “tech bros” montent sur le ring, ou quand la Silicon Valley montre les muscles
Loin de la figure du “nerd” plutôt discret des années 1990, les hommes de la Silicon Valley et du monde de la tech s’affichent désormais torse nu (et musclés) lors de combats d’arts martiaux où ils s’affrontent entre eux. Une masculinité “tape-à-l’œil” comme nouvelle expression d’un pouvoir croissant, analyse la presse.
Deux hommes s’affrontent sur un ring. Des coups de poing fusent, et leurs bras tournent dans les airs comme des hélices… Sans atteindre leur cible.
Ces deux boxeurs, apparemment amateurs, peinent à faire décoller le combat, ce qui amuse l’un de leurs entraîneurs qui, lui, est un ancien kickboxeur professionnel : “J’adore regarder ces nerds essayer de devenir des hommes.” Malgré leur niveau relatif, ces boxeurs ont eu le droit à des tonnerres d’applaudissements. Dans la foule, des supporteurs arboraient des tee-shirts cryptographiques.
C’est qu’ils ne sont pas de simples sportifs, mais des entrepreneurs de la Silicon Valley participant à ETHDenver, la conférence annuelle sur les cryptomonnaies de Denver, aux États-Unis. Et quoi de mieux qu’une rencontre entre technophiles pour “sortir ses muscles” (naissants) et se battre – avec diffusion en direct sur YouTube, raconte The New York Times.
Sur le ring ce jour-là, Andrew Batey, qui a fait fortune en tant qu’investisseur en capital-risque, et Chauncey St. John, entrepreneur en cryptomonnaies. Leur combat a été organisé par la ligue Karate Combat, qui offre aux investisseurs des jetons Karate – une cryptomonnaie avec laquelle les fans peuvent parier sur ces combats diffusés sur YouTube et certaines chaînes de télévision.
Depuis quelque temps, elle a lancé une ligue “amateurs” intitulée Influencer Fight Club et dont les matchs ont souvent lieu lors d’événements professionnels liés à la tech ou à la crypto. Très suivis par la communauté “Crypto Twitter” sur X, ils attirent des gros noms du secteur, à l’instar de Nic Carter, fondateur de Coin Metrics et fanatique de Bitcoin.
“Attention, visibilité, influence”
“Bienvenue dans une Silicon Valley où la testostérone a remplacé le code HTML”, écrit d’emblée le quotidien espagnol El Confidencial, qui s’intéresse à ces millionnaires de la tech qui s’emploient à “redéfinir leur pouvoir et leur image publique par la force brute”.
“L’essor de ces combats suit une certaine logique, presque commerciale : attention, visibilité, influence”, assure le quotidien espagnol.
Menée par Mark Zuckerberg, adepte du ju-jitsu brésilien à ses heures perdues – en parallèle de son activité de PDG de Meta –, “l’élite technologique du pays, non contente de son immense fortune et de son influence politique croissante, a récemment développé une nouvelle obsession : le combat”, constate le New York Times. Ainsi, note-t-il, en parallèle de son rapprochement idéologique avec Donald Trump, la Silicon Valley s’oriente vers les arts martiaux, “nouveau sport de prédilection de la manosphère”.
Et cette tendance n’a rien d’anecdotique : elle dit beaucoup de “la masculinité, du pouvoir et du culte du corps dans la Silicon Valley”, poursuit El Confidencial. Bien souvent, pour ces “tech bros”, il ne s’agit pas d’une simple question d’esthétique ou d’estime de soi, mais d’“un geste politique”. Comme lorsqu’à l’été 2023 Elon Musk avait défié Zuckerberg pour un duel de MMA (pour “arts martiaux mixtes”) en cage, pour s’affronter comme des “gladiateurs” – duel qui n’a pas eu lieu.
De “geek” à leader charismatique
Il est loin le temps où le génie de Harvard ne sortait qu’en survêtement gris, expliquant que se focaliser sur l’apparat lui aurait fait “perdre en productivité”. En 2025, il prend la pose avec “des tee-shirts aux slogans belliqueux et des bijoux coûteux”, quand il n’est pas carrément torse nu, occupé à “renverser ses adversaires sur le ring ou à arborer des médailles comme un pro de l’UFC [l’Ultimate Fighting Championship, la principale ligue américaine d’arts martiaux mixtes]”, décrit le quotidien espagnol.
Le style personnel est depuis longtemps un “outil incontournable de l’élite technologique”, mais l’expression de ce pouvoir “a nettement évolué”, analyse pour sa part Wired.
Le site spécialiste des technologies rappelle qu’à la fin des années 1990, Steve Jobs était le premier à assumer le style “de geek maigre avec des cols roulés noirs, des baskets blanches et une mentalité anti-Wall Street”. Aujourd’hui, ils vont à la salle de sport, s’habillent avec des vêtements de créateur, et entendent développer l’énergie masculine dans leurs entreprises – comme l’a récemment déclaré Mark Zuckerberg.
Cette transition du “nerd” maladroit à un “leader” charismatique prêt au combat – physique, moral et maintenant politique – “reflète la trajectoire plus large de la Silicon Valley elle-même”, estime Wired.
Chloé Boyer
il y a une immense différence entre faire joujou dans un stand de tir, une bière dans la main libre, et se trouver dans un cadre de violence où ça part de tous les cotés. C'est toute la différence entre la théorie et la pratiqueLes tirs visaient à blesser les manifestants, évidemment pas spécifiquement à les éborgner [*](ces armes ne sont probablement pas d'une très grande précision), ceci en contravention avec les recommandations d'usage qui prévoient de "vise(r) de façon privilégiée le torse ainsi que les membres supérieurs ou inférieurs" et d'éviter la tête.
Ces armes non-létales sont donc prévues pour avoir des effets dissuasifs forts, mais n'infligeant pas de blessures sérieuses.
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