quant le bateau fait naufrage, ce n'est plus le moment de trouver des solutions pour éviter qu'il coule, il fallait juste y penser avant. Maintenant peut être que quelques passagers auront la chance de ne pas y avoir laissé leur peau et tant mieux pour eux, au milieu d'un océan vide à perte de vue (et encore s'il n'y a pas de tempête!)Bon là c’était facile , maintenant plus qu'à passer aux solutions
janic a écrit : quant le bateau fait naufrage, ce n'est plus le moment de trouver des solutions pour éviter qu'il coule, il fallait juste y penser avant. Maintenant peut être que quelques passagers auront la chance de ne pas y avoir laissé leur peau et tant mieux pour eux, au milieu d'un océan vide à perte de vue (et encore s'il n'y a pas de tempête!)
j'en suis médusé!un radeau peut être
non seulement pas facile, mais utopique. pendant qu'on bavasse la population mondiale continue d'exploser et veut vivre comme le modèle américain. Le petit moustachu avait déjà trouvé la solution finale.C'est cela que je désigne par solution et qu'il n'est pas facile de définir.
janic a écrit : j'en suis médusé!
, en souhaitant ne pas en arriver a consommer nos congeneres 
Il ne faut pas partir perdant d'avance.non seulement pas facile, mais utopique.
Certes l'ampleur du problème parait insurmontable au niveau global, c'est bien pour cela qu'il faut gérer au niveau local, là où on peut agir positivement, tout en ayant le global à l'esprit.pendant qu'on bavasse la population mondiale continue d'exploser et veut vivre comme le modèle américain.
Apres , désolé, mais chacun se démerde avec son local...faut pas faire une flopée de gamins dans des zones en stress hydrique chronique. Cet apprentissage en live, va coûter cher...
Pourquoi pas! N’a-t-on pas donné des farines animales(le plus souvent d’origine bovine) aux bovins justement et ça continue. Chair animale, chair humaine, c'est de la bidoche dans les deux cas.Il y a de l'idée , en souhaitant ne pas en arriver a consommer nos congénères
Ne pas confondre perdant d’avance et perdu d’avance et nous sommes dans la seconde phase. C’était il y au moins 75 ans qu’il fallait se poser des questions qui pointaient pourtant à l’horizon comme pour l’ouvrage de rachel carson avec « le printemps silencieux »Il ne faut pas partir perdant d'avance
Ce n ‘est qu’une utopie (mais j’aime les utopies qui se réaliseraient)En clair faire du bien au niveau local sans que cela nuise au global.Certes l'ampleur du problème parait insurmontable au niveau global, c'est bien pour cela qu'il faut gérer au niveau local, là où on peut agir positivement, tout en ayant le global à l'esprit.pendant qu'on bavasse la population mondiale continue d'exploser et veut vivre comme le modèle américain.
Au contraire justement ! on sait, expérimentalement, qu’il faut entre 3 et 4 générations pour percevoir des changements suffisants dans une société bien définie, comme une ville, une région, un pays, mais pas la terre entière.(cela fera bientôt un siècle que le torchon brule partout)Pas compliqué ! :
Malheureusement, mais nous en sommes tous responsablesC'est tout l'inverse de ce que l'on a fait jusqu’à aujourd'hui.
le sexe c'est un palliatif à la misère car, au moins, ça offre un peu de plaisir animal.Apres , désolé, mais chacun se démerde avec son local...faut pas faire une flopée de gamins dans des zones en stress hydrique chronique. Cet apprentissage en live, va coûter cher...
Eh oui ! Mais dans une société suicidaire, ce n’est plus une question de moyens (que personne ne veut accorder sur le plan politique, économique,) mais de conscience que par réflexe, la plupart des gens, refusent de voir.On aide quand on a les moyens de le faire.
Ahmed a écrit :Sauf que la "flopée de gamin" est issue d'une approche locale (c'est une aide, surtout pour les vieux jours)
Je crois qu'il s'agit plutôt d'une éducation défaillante, pour ne pas dire inexistante sur les conséquences de leur nos choix de vie.
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