Did67 a écrit :nico239 a écrit :3. Je ne sais pas si tu réponds à ma question ... en tous les cas à celle que j'avais en tête mais que j'ai peut-être mal exprimée.
Dans le doute je reformule
Tu parles de bottes de paille mais en fait ma question parle sur le phénomène BOTTE...
Est-ce qu'une botte (de foin ou de paille peu importe) aggrade mieux ou moins bien ou pareil le sol qu'une épaisse couche de foin ou de paille.
Sous entendu (dans mon cerveau
) la masse et le poids de la botte sont peut-être moins bons pour le sol qu'une épaisse couche de foin ou de paille moins lourde et plus aérée....
En fait c'est une comparaison botte/couche qui m'intéresse....
Mais peut-être était-ce ce que tu avais compris???
Non. J'avais pas comprite comme ça. Ta question était pourtant claire. Mais mon esprit pollué par les photos de bottes de paille... Donc court-circuit : quand tu as parlé de bottes, c'était forcément la paille pour moi...
Eh bien, à la vraie question, les bottes de foin aggradent-elles autant que le foin étalé, ma réponse sera : oui, quasiment. Les bottes ne sont pas assez larges pour que s'installe une anaérobiose. Et les organismes ne souffrent pas de la pression ou quoi que ce soit. Sous 30 cm de terre humide, cela "plombe" aussi !
J'ai par ailleurs laissé trainer des rouleaux, qui s'était humidifié par le bas, par remontée capillaire durant l'hiver. Et avachis. Et qui commençaient à bien se décomposer ! L'aggradation était en marche. Un jour, je suis tobé sur un tas de rouleau de foin qui étaient resté à pourrir pendant quelques années : une terre de rêve !!!
Je pense donc que c'est à peu près équivalent...
Ah j'ai bien fait de reformuler...
Alleluia pour ta réponse.
Ça commence à sentir bon c't'histoire
Le but initial c'était AVANT TOUT de réaliser des serres TOUTES SAISONS à bon compte sans réinvestir dans un tunnel, sans compter qu'ici durant l'été le tunnel a démontré ses limites et ses plus de 50° il faudrait avoir un tunnel d'ombrage comme on a vu chez le maraîcher du coin mais bon on est pas Crésus...
En plus (je me gourre peut-être) mais la hauteur «perdue» d'un tunnel me semble inutile... mais je pressens que je me gourre
et que je risque de me faire enguirlander
Avec les bottes on commence à avoir le beurre et l'argent du beurre : pas cher, modulable, chaud, froid,
On règle la hauteur à la demande (enfin jusqu'à un certain point).
Mais si en plus l'aggradation ne souffre pas de ces masses au sol et si le travail continue de se faire, cela permet d'aggrader gratos tout en bossant par ailleurs
À la fin de la saison on déplace la botte de la largeur .... d'une botte et hop on récupère l'espace agradé par un an de foin utile par ailleurs, on repose dans l'espace non agradé et ainsi de suite
....
Ça commence à me plaire ce truc...
Ne reste plus qu'à perfectionner les «toits de serre» à la québécoise.