Voilà les histoires comme "on" les raconte (je vise le texte, pas Covès).
Qu'il vienne chez moi, dans un système sans aucun pesticide, jamais traité, relativement en "équilibre", plein de zones refuges
Quand est-ce les babacools réfléchiront à deux choses fondamentales : a) un potager n'est jamais un système naturel en équilibre - c'est un espace anthropisé ; b) un équilibre naturel est toujours un système "oscillant autour des équilibres", avec pour chaque population, des hauts et des bas... Et voudront prendre en compte le fait que sur des semis ou des jeunes plants, une limace peut nettoyer 1 m sur un rang en une nuit...? Ou un petit carré de plants ?
Après, oui. Vous avez vu la serre-tunnel : je récolte actuellement les salades et à presque chaque salade, il y a une ou deux ou trois limaces. Sans aucun dégât apparent. Menacées par la sécheresse (il ne pleut pas dans une serre !), elles restent terrées sous leur pied. Ou elles mangent ce qu'elles préfèrent : les feuilles malades, en train de commencer à pourrir. Ce que je mange moi est intact. On "partage" ! Là, cela marche.
Et le reste est de la littérature de gens enfumés. Qui écrivent sur un I-Mac dans le 16ème et achètent leur bouffe au BioCoop !
Je sors d'une belle tension avec les limaces, avec des dégâts. Et ça, c'est observable - ailleurs que sur les écrans de Smartphone.