Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue

Agriculture et sols. Pollution, contrôles, dépollution des sols, humus et nouvelles techniques agricoles.
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Did67
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Did67 » 16/02/19, 10:30

VetusLignum a écrit :Ceci pour dire que la fixation libre d'azote lors la décomposition des matières carbones est un fait attesté.

Après, tout ceci est brouillon, je vous l'accorde. Il faudrait identifier les bactéries, quantifier leur action... Mais ce que je veux dire, c'est que ce dont KS parle est possible ; et ce n'est pas parce que certains n'ont pas eu le même succès qu'il faut en conclure que KS ment
Il y a beaucoup de recherches à faire sur la question, mais en attendant, rien ne nous empêche de tester par nous-même et d'essayer de tirer profit de ces mécanismes.


1) Merci pour ces infos, que je n'avais pas.

2) Note juste que je n'ai jamais contesté la "fixation libre" (c'est même un paragraphe de mon livre, écrit en 2017).

3) Je ne conteste pas que l’effet dépressif décroit avec le temps. Je l'ai écrit plusieurs fois déjà.

4) Je ne conteste pas que ce mécanisme biologique, comme d'autres, puisse être "boosté". Là encore, je l'ai écrit.

5) Cela ne m'empêche pas d'être dubitatif sur l'ampleur que KS donne à ce mécanisme spécifiquement. Sur la base d'analyses qui, pour ce que j'en ai compris, mesurent des "stocks" - et non des flux. Et comme esquissé dans mon calcul à la louche, les apports d'N par la paille sont loin d'être négligeables - même si insuffisants pour éc happer à l'effet dépressif au moment de l'explosion de l'activité biologique de minéralisation / humlification.

C'est toute la difficulté des raisonnements avec les flux / stocks : même un matériau pauvre comme des sciures apporte quelques kilos d'N ! Même si dans un premier temps, il est parfaitement incapable de satisfaire les besoins des organismes lors de leur phase de multiplication (les microorganismes ont un rapport C/N de leur corps = 8 environ ; s'il n'y a pas un ordre de grandeur de 15 dans le matériau de départ, cette phase va "emprunter" de l'N au sol / NB : 15 parce que le matériau est à la fois "brique" et "énergie" - le besoin d'énergie dégage une partie du C sous forme de CO² ; reste l'autre moiotié du C et l'N qui n'a pas bougé, dans un rapport de 8 à 1 ; tous ces chiffres approximatifs).

Je continue donc simplement de rester plus nuancé. C'est tout. Je me demander si le sol ne "pisse" pas avant tout de l'N parce que la paille, à ce dosage, en apporte pas mal. Sauf éléments irréfutables contraires, c'est pour l'instant, ce que je pense : 2/3 à 3/4 de l'N originaire de la paille et 1/4 à 1/3 de la fixation biologique...
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Did67 » 16/02/19, 10:34

nico239 a écrit :
En fait la question centrale c'est : combien de temps met un sol nu pour se réchauffer raisonnablement au printemps.

Si 2 jours de soleils c'est suffisant alors rien n'empêche que je couvre maintenant.

Si c'est 3 ou 4 semaines... ma foi cela me ferait découvrir le 15 avril environ...

Si c'est 3 mois là c'est sur c'est mort... :mrgreen:


Je ne sais pas ; je n'ai pas mesuré.

En fait, la terre se réchauffe le jour, mais se refroidit la nuit ! C'est un bilan dynamique, difficile à anticiper.

C'est plus que 2 jours !

Surement 3 ou 4 semaines, mais s'il neige début mars, cela peut changer la donne !

Impossible à dire, à mon avis.

Donc tâtonner.

Et l'année prochaine, cela ne sera pas pareil.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Did67 » 16/02/19, 10:37

Pour info, trouvé de la "Gotte Jaune d'Or", réputée être la laitue la plus précoce (en dehors des laitues d'hiver, dont je rappelle qu'elles fonctionnent différemment : mises en place à l'automne, elles passent l'hiver à l'état de petite plantule grâce à une exceptionnelle résistance au gel - à ne pas confondre avec la précocité).

[Trouvée bêtement dans un magasin de bricolage ayant un relativement petit rayon de "jardinage"... Comme quoi !]

Je vais de ce pas en rajouter une ligne dans mon "essai" qui sera donc un essai "toutes autres choses PRESQUE égales" !

Je vais croiser tout cela avec la moitié sous voile P17, et l'autre sans.

Le tout dans ma serre qui a de nouveau ses portes depuis hier soir !
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Jérôme » 16/02/19, 11:46

Existe-t-il un tableau rassemblant les températures mini et/ou moyennes du sol et de l'air, durées de jour, etc, nécessaires à la germination puis à la croissance des divers légumes de nos potagers ? Je n'arrive pas à trouver un document bien fait et un peu complet.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Adrien (ex-nico239) » 16/02/19, 13:12

Did67 a écrit :
nico239 a écrit :
En fait la question centrale c'est : combien de temps met un sol nu pour se réchauffer raisonnablement au printemps.

Si 2 jours de soleils c'est suffisant alors rien n'empêche que je couvre maintenant.

Si c'est 3 ou 4 semaines... ma foi cela me ferait découvrir le 15 avril environ...

Si c'est 3 mois là c'est sur c'est mort... :mrgreen:


Je ne sais pas ; je n'ai pas mesuré.

En fait, la terre se réchauffe le jour, mais se refroidit la nuit ! C'est un bilan dynamique, difficile à anticiper.

C'est plus que 2 jours !

Surement 3 ou 4 semaines, mais s'il neige début mars, cela peut changer la donne !

Impossible à dire, à mon avis.

Donc tâtonner.

Et l'année prochaine, cela ne sera pas pareil.


Ok d'ac merci.

Effectivement la météo joue un rôle prépondérant.

En 2017 il a neigé le .... 1er mai tiens avec une photo sur laquelle la serre est en cours de montage.... ouh la que de souvenirs

Image


En 2018 25cm le 1er mars alors qu'en ce moment on crève de chaud, comme partout en France d'ailleurs (sauf la nuit bien sur où les températures sont toujours négatives -5 environ)

Image


Je vais recouvrir et on verra 3 semaines environ avant les repiquages ou les semis pour découvrir : à noter qu'on est plein sud.... ça aide :mrgreen:
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Did67 » 16/02/19, 13:43

Jérôme a écrit :Existe-t-il un tableau rassemblant les températures mini et/ou moyennes du sol et de l'air, durées de jour, etc, nécessaires à la germination puis à la croissance des divers légumes de nos potagers ? Je n'arrive pas à trouver un document bien fait et un peu complet.


Il y a fort longtemps, j'en avais trouvé un. Qui ne m'avait pas du tout convaincu...

Il doit trainer sur un de mes nombreux disque durs - à moins qu'il n'ait été perdu dans l'un des "crash" d'ordi que j'ai connus sans toujours avoir les sauvegardes comme il faudrait !
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par JardinierAmateur » 16/02/19, 13:44

Du bio dans toute sa splendeur :

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L'ennemi se déguise souvent en géranium. Mais l'on ne peut s'y méprendre, car tandis que le géranium est à nos fenêtres, l'ennemi lui, est à nos portes
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Did67 » 16/02/19, 13:47

Julienmos a écrit :je viens de regarder la nouvelle vidéo du PP... dingue tous ces monticules de terre dans le pré ! :shock: mais ça ressemble bien davantage à du travail de taupe ça, non ? comment tu distingues les deux ?


Pas de certitude, car c'est chez le voisin, je n'ai pas été gratté...

Si les monticules se ressemblent, le trou part généralement en biais pour les rats-taupiers et à la verticale pour les taupes. Ce n'est toujours évident, ni une règle absolue, mais en gros c'est vrai.

Donc je suppute. C'est juste que dans le coin, on a beaucoup de rats-taupiers et peu de taupes ! A certains endroits, cela radie autour des fruitiers - et là, pas de doutes : les rats-taupiers rongent les racines des fruitiers, que dans des cas extrêmes, ils transforment en "piquet pointu" !
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Did67 » 16/02/19, 14:17

Pas encore sortie, ma deuxième édition est déjà obsolète ???

Vu sur le site internet du journal Le Monde :

Des bestioles mobiles il y a 2 milliards d’années


Ces petits tunnels dans l’argile ont été creusés par des sortes de vers fouisseurs, à la recherche d’un film bactérien à manger… il y a 2,1 milliards d’années.

Un être vivant doté de mobilité autonome ? A quand cela remonte t-il ? Oh, les plus anciennes traces certaines, il y a environ 570 millions d’années, répondrait le paléontologue. Donc, une apparition nécessairement un peu (à 100 millions d’années près) antérieure, conclurait-il.

Et paf ! Article dans la revue PNAS – la revue de l’Académie nationale des sciences des USA – qui claque une nouvelle date : 2,1 milliards d’années (1). Un saut dans le temps phénoménal. Difficile à avaler pour les spécialistes de l’histoire de la vie très ancienne : auraient-il raté quelque chose ?

Réponse avec un coup d’œil sur l’article paru dans le PNAS. Le premier auteur n’est autre qu’Abderrazak El Albani. Le découvreur d’un écosystème qui a bousculé les manuels universitaires sur l’histoire de la vie. Une découverte remontant à 2008, publiée en 2010, à la Une de Nature tant elle bouleversait les connaissances.

Nichée dans des argiles gabonaises, près de Franceville, elle révélait des formes de vies macroscopiques, grandes comme votre main, avec des traces fossiles formidablement bien conservées. Des traces relatant l’histoire de l’éclosion, de la vie durant 200 millions d’années, puis de la disparition sans descendances directes, de formes de vies macroscopiques et pluricellulaires. Or, jusque là, pour les paléontologues, les êtres macroscopiques, et pluricellulaires, c’était beaucoup plus récent, il y a environ 600 millions d’années.

Gisement unique au monde

Abderrazak El Albani, de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (CNRS/Université de Poitiers), a su mobiliser une équipe internationale de grande qualité pour exploiter ce gisement unique au monde. Avec ce nouvel article, il prouve une fois de plus sa fécondité scientifique. Il y a plusieurs années déjà, il m’avait montré, sous réserve de confidentialité, ces argiles où se voyaient la trace de petits tunnels fossiles dont il a recueilli pas moins de 80 exemplaires lors de ses fouilles au Gabon. Sinueux, de quelques centimètres de long, il en était persuadé : «ce sont la trace d’animaux fouisseurs, comme des vers, qui se déplacent dans la vase, dans une mer peu profonde». Il en apporte aujourd’hui une preuve précise à l’aide d’une investigation poussée.

La micro-tomographie révèle la morphologie 3D des tubes reflétant la trajectoire des déplacements à travers le sédiment. Les tubes sont remplis de cristaux de pyrite (issus de la transformation de tissus biologiques par des bactéries) intercalés de minéraux argileux. Les couches horizontales parallèles sont des voiles bactériens fossiles. © A. El Albani & A. Mazurier / IC2MP / CNRS – Université de Poitiers

Micro-tomographie, sonde ionique, analyse spectrométrique (Centre de recherches pétrographiques et géochimiques de Nancy), mesure des rapports isotopiques du soufre (révélateur d’une origine biologique et non purement géologique du soufre)… tout un arsenal a été mobilisé pour prouver au delà de toute critique possible que ces petits tunnels dorés, la couleur de la pyrite dont ils sont constitués, avaient bien une origine biologique. Qu’il s’agisse du mucus déposé par les êtres vermiformes sur les parois des tunnels ou de leurs cadavres transformés par les bactéries, c’est bien un matériel biologique qui est à l’origine de ces mystérieux tunnels.

Film bactérien

A l’époque de leur formation, raconte El Albani, il faut imaginer une vase peu profonde où vivent ces êtres. Les traces de mobilités sont manifestement provoquées par la recherche des films bactériens pour se nourrir, dont on observe également la trace, certains corrélés aux tunnels. Que sont ces êtres ? «Je voulais éviter toute spéculation susceptible d’être attaquée», souligne le géologue encore étonné des mouvements d’humeurs provoqués chez certains paléontologues par sa découverte. Aussi, les auteurs de l’article évoquent-ils parmi les possibilités un comportement connu chez les amibes actuelles, capables de se regrouper pour former une sorte de colonie en forme de ver afin de mieux se déplacer à la recherche de nourriture. Mais, remarque t-il un peu malicieux, «les amibes montrent des mouvements horizontaux, dans mes fossiles, il y a aussi des mouvements verticaux».

Fig. 3. (A and B) Volume rendering showing continuity between sheet and string morphologies in a single specimen. (Scale bars: 1 cm.) Image tirée de l’article des PNAS, traces d’un tunnel attaché à un film bactérien fossilisé.

Depuis la publication dans Nature de 2010, l’affaire est pourtant entendue. L’écosystème découvert recèle des sophistications biologiques déjà élevées, dont la mobilité fait partie. Quel que soit l’organisme à l’origine des tunnels fossiles, il ne peut être trop simple. Les auteurs affirment donc qu’il doit s’agir d’eucaryotes – autrement dit d’êtres dont le patrimoine génétique est enfermé dans un noyau, à la différence des bactéries et archées unicellulaires où il se trouve dispersé dans la cellule. Mine de rien, cela fait aussi remonter de plusieurs centaines de millions d’années l’apparition des eucaryotes dans l’histoire de la vie.

A gauche le bloc d’argile, à droite la micro-tomographie révèle la morphologie 3D des tubes reflétant la trajectoire des déplacements à travers le sédiment. Les tubes sont remplis de cristaux de pyrite (issus de la transformation de tissus biologiques par des bactéries) intercalés de minéraux argileux. Les couches horizontales parallèles sont des voiles bactériens fossiles. © A. El Albani & A. Mazurier / IC2MP / CNRS – Université de Poitiers

Quant au mystère de son apparition, de sa durée (200 millions d’années) et de sa disparition, il semble désormais mieux compris. C’est très probablement un « pic » – un plateau plutôt – dans la teneur en oxygène de l’atmosphère qui a permis l’apparition de formes de vies plus grosses et pluricellulaires, il y a 2,1 milliards d’années. Plus d’oxygène permet des métabolismes plus intenses et des êtres plus gros. Puis la diminution de cette teneur a provoqué la disparition de ces êtres macroscopiques, il y a environ 1,9 milliard d’années… Pour faire entrer la vie dans le « milliard d’années ennuyeux », les paléontologues qualifiant ainsi cette longue période où ne semblent vivre que des êtres unicellulaires. Et avant que la remontée de l’oxygène (ces yoyos sont provoqués par les bactéries marines qui consomment ou rejettent de l’oxygène) ne provoque « l’explosion cambrienne » à l’origine de la plupart des formes de vies actuelles, il y a 540 millions d’années.

Zéro soutien financier de l’ANR

L’équipe réunie autour de ce gisement fossile exceptionnel par Abderrazak El Albani continue donc son festival de premières scientifiques. Sans, pour l’instant, déclencher le soutien financier de l’Agence nationale de la recherche (le CNRS n’a plus de moyens financiers à la mesure de ses capacités et se contente de faire un communiqué de presse lorsqu’El Albani fait une publication marquante). L’ANR, comme raconté ici, a déjà refusé cinq demandes de crédits de recherche de l’équipe d’El Albani, qui doit avoir décroché le pompon de l’équipe française du nombre de publications prestigieuses (Nature, PNAS…) avec zéro soutien de l’ANR. Laquelle, il est vrai, repousse 90% des projets présentés par les chercheurs dans son programme non thématisé, faute de moyens.

Peut-être faut-il y voir le signe avant-coureur de ce que demande le Premier Ministre au CNRS : «choisir ses renoncements», lors d’un discours tenu devant les directeurs de laboratoire, sommés de désigner les recherches à enterrer faute de moyens financiers publics.

Sylvestre Huet

(1) Organism motility in an oxygenated shallow-marine environment 2.1 billion years ago, Abderrazak El Albani, M. Gabriela Mangano, Luis A. Buatois, Stefan Bengtson, Armelle Riboulleau, Andrey Bekker, Kurt Konhauser, Timothy Lyons, Claire Rollion-Bard, Olabode Bankole, Stellina Gwenaelle Lekele Baghekema, Alain Meunier, Alain Trentesaux, Arnaud Mazurier, Jeremie Aubineau, Claude Laforest, Claude Fontaine, Philippe Recourt, Ernest Chi Fru, Roberto Macchiarelli, Jean-Yves Reynaud, François Gauthier-Lafaye, Donald E. Canfield. PNAS, 11 février 2019.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Adrien (ex-nico239) » 16/02/19, 14:28

Did67 a écrit :Pour info, trouvé de la "Gotte Jaune d'Or", réputée être la laitue la plus précoce (en dehors des laitues d'hiver, dont je rappelle qu'elles fonctionnent différemment : mises en place à l'automne, elles passent l'hiver à l'état de petite plantule grâce à une exceptionnelle résistance au gel - à ne pas confondre avec la précocité).

[Trouvée bêtement dans un magasin de bricolage ayant un relativement petit rayon de "jardinage"... Comme quoi !]

Je vais de ce pas en rajouter une ligne dans mon "essai" qui sera donc un essai "toutes autres choses PRESQUE égales" !

Je vais croiser tout cela avec la moitié sous voile P17, et l'autre sans.

Le tout dans ma serre qui a de nouveau ses portes depuis hier soir !


Je note je note et je vais suivre sa culture mais également son goût car les variétés précoces sont intéressantes dans notre contexte de montagne
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