Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue

Agriculture et sols. Pollution, contrôles, dépollution des sols, humus et nouvelles techniques agricoles.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 25/06/16, 10:25

izentrop a écrit :
Le foin doit aussi leur donner un abri. Les abris des limaces sont aussi valables pour les carabes.



Oui, sans doute. Néanmoins, je leur laisse aussi une "bande enherbée"...
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 25/06/16, 10:38

izentrop a écrit :
Il parait que l'eau savonneuse les asphyxie en bouchant les pores de leur peau, mais j'ai l'impression que ça a surtout fait fuir les fourmis qui sont leurs protectrices. Le miellat au gout de savon ne doit pas leur plaire ? (les pucerons rescapés remuent dès qu'on les titillent)

Résultat : festin pour les prédateurs !
Une majorité de syrphes. La coccinelle du début semble bien de chez nous, mais celle qui grimpe à toute vitesse est asiatique.
https://youtu.be/pNz4AxXepyQ




Je me méfie un peu de ces "il parait"... Quand on voit déjà les "conneries" quand les gens ne disent pas ou n'écrivent pas "il parait..." et affirment sans réserves !

J'y crois davantage avec les émulsions type 1 cuillère à café d'huile + 1 cuillère à café d'alcool + 1 cuillère à café de produit vaisselle. Là, l'huile peut "bloquer" les pores... Mais j'ai entendu ça pour les cochenilles, qui ont une organisation bien différentes des pucerons. Surtout les cochenilles à carapaces. J'ai obtenu sur mes plantes ornementales des résultats au moins aussi bons que ceux avec des produits chimiques... Sans m'en débarrasser quand même !

Sur pucerons, j'ai obtenu de bons effets avec.... de l'eau : passage, par en-dessous, d'un abondant jet d'eau sur des haricots atteints il y a deux ans. Un passage et l'affaire était réglée...

Super ta vidéo. Effectivement, si coccinelles et syrphes s'agitent, comme on le voit, l'affaire sera vite réglée !

Chez moi, j'ai vu les premières coccinelles sur mes plantes martyres il y a deux jours. Mais pas de syrphes !

Comme j'ai des limaçons et pas (pas encore) de carabes...

Le froid et l'humidité sont très favorables aux parasites mais "bloquent" ou ralentissent les cycles des insectes. Les pucerons sont parthénocarpiques, c'est-à-dire si les conditions ne sont pas favorables, se multiplient très vite sans processus de sexualité.

http://www.jardinage.eu/article/les-pucerons-279

Alors que les coccinelles pondent des œufs qui passent ensuite par 4 stades larvaires. Ce cycle est strictement déterminé par la température extérieure (les coccinelles, contrairement aux oiseaux, ne couvent pas !). Il était très très lent ces derniers temps !
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 25/06/16, 10:41

chatelot16 a écrit :
il n'est pas indispensable d'avoir un engin aussi gros
il y a plus petit https://www.leboncoin.fr/materiel_agric ... tm?ca=20_s mais il faut quand même un tracteur car la C1 ne suffira pas

et reste a voir si une tonne a lisier ordinaire suffit ... il faut peut etre ajouter un systeme de brassge dans la cuve pour eviter de décanter la partie solide



Bon, ce n'est pas essentiel mais tout de même :

- je suis plutôt sur un "système" de jardinage privatif de type "pavillonnaire" ; pas le maraichage professionnel de plein champs...

- certains "agriculteurs" ou habitants de zones rurales ont des tracteurs pour le bois, le jardin, mais c'est une minorité

- enfin, mon jardin n'est plus accessible, tout simplement !

Donc je ne m'oriente pas du tout dans ce sens.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par chatelot16 » 25/06/16, 11:01

je ne veut pas te convaincre d'utiliser du gros materiel chez toi ... mais on parle de jardin de fainéant , et je suis encore plus fainéant que toi ... ça ne me fatigue pas de voir tourner du matériel motorisé

je fait de la mecanique pour quelques agriculteur , et quand il font un bout de jardin il utilisent le materiel qu'il ont : il y en a un qui utilise son gros materiel quand c'est utile puis laisse faire le petit travail a un jardinier amateur

donc quand je pose des question sur l'utilisation du digestat c'est parce que ça fait partie de mon programme de remplacer les tas de fumier par un petit methaniseur

le probleme , c'est que quand je vante les avantage du methaniseur qui donne plus de valeur comme engrais que le fumier , je n'ai aucunne information pratique sur son utilisation , et ne peut pas coriger la desinformation qui montre du materiel enorme comme seule solution
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 25/06/16, 11:05

chatelot16 a écrit :
utiliser du foin qui a de la valeur pour alimentation du betail sur le sol du jardin me parait donne de la confiture au cochon



Là, en revanche, c'est un point essentiel. Une question que je me suis posée il y a quelques temps déjà !

1) Tout le foin n'a pas une valeur pour le bétail : cet hiver, j'ai récupéré des rouleaux qui avaient pris l'eau par le bas, chez un agriculteur.

On voit chaque année (presque - pas l'an dernier !), des rouleaux qui traînent...

Il y a aussi des fauches tardives de zones protégées, avec des épines, inutilisables...

Ce gisement non valorisé actuellement est une première piste !

2) En dehors de cela, il y a en France environ 750 000 chevaux de "loisirs" (loisirs, selle, courses....).

"Le cheptel équin français compte plus de 1 100 000 équidés dont plus de 70% sont utilisés en sport loisir..."

http://www.haras-nationaux.fr/informati ... ncais.html

Je ne compte pas les lapins, le cochons d'Inde ou chèvres naines. Ni quelques ânes...

Je pense qu'il est AU MOINS aussi légitime de consacrer de la biomasse à produire ses légumes que de la consacrer aux animaux de "loisirs", non ???

Donc, après réflexion et recherches, la question ne se pose pas pour moi.

D'ailleurs, le cheptel équin est en baisse constante depuis 2011, "libérant" du foin qu'il consommait avant sans que personne n'ait quelque chose à objecter (environ - 12 000 équins) !

Alors si on prend à la louche qu'un cheval qui se régule de lui même mange environ 15kg de foin par jour en hiver, 6 mois d'hiver, allez, cela te fait entre 2,5 et 3 tonnes de foin par cheval et par hiver. J'utilise environ 1 tonne pour mes 500 à 600 m².

Les 10 000 chevaux en moins depuis 2011 donnent la possibilité de "traiter" 500 m² (ce qui est plutôt un "grand jardin") à ... 30 000 personnes ! Je commence à être lu, mais pas à ce point !!!!!!!!
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 25/06/16, 11:14

chatelot16 a écrit :
mettre sur le sol du bois broyé me parait plus economique , mais tu dit trop "forestier" est ce qu'un melange bois bbroyé fin plus digestat ne ferait pas un truc equilibré et economique ?



Encore une question très intéressante !

Je n'ai pas de réponse définitive. Il faudrait expérimenter et suivre différents paramètres du sol pendant quelques années, ou une dizaine d'années.

Ce que je vais écrire est donc une "conjecture" !

Le bois broyé apporte de la lignine, que seuls les champignons décomposent.

Si on l'apporte sans autre forme de procès, outre le fait de favoriser les champignons (contre les bactéries), on aura le fameux "effet dépressif" du fait que c'est une substances très très carbonée et très pauvres en tous les autres éléments. Le processus de décomposition, la multiplication des organismes impliqués va se faire en "empruntant" ces éléments au sol, en concurrence avec les plantes cultivées...

Ceci, on peut en effet, le corriger avec des apports de "substances" riches en ces éléments : urée de synthèse pour apporter de l'azote, tontes de gazon (= matière organique fraiche riche en azote et autres éléments), digestat comme tu l'évoques...

Dans une phase plus avancée, par ricochet en quelque sorte, les matières intermédiaires de décomposition, les champignons quand ils vont mourir et se décomposre, vont apporter de la biomasse aux autres organismes : vers de terre, bactéries, plantes...

Donc, à mon avis, cela favorisera dans un premier temps une phase un peu plus "forestière", un peu plus acide, mais les choses se rétabliront ensuite...

La question peut aussi s'envisager d'une façon un peu comparable, mais peut-être moins "violemment", de façon moins extrême, pour la paille (qui est surtout cellulosique) ! Quand je n'ai pas de foin, j'utilise de la paille mélangée à des tontes de gazon comme "succédané".
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 25/06/16, 11:27

chatelot16 a écrit :je ne veut pas te convaincre d'utiliser du gros materiel chez toi ... mais on parle de jardin de fainéant , et je suis encore plus fainéant que toi ... ça ne me fatigue pas de voir tourner du matériel motorisé

je fait de la mecanique pour quelques agriculteur , et quand il font un bout de jardin il utilisent le materiel qu'il ont : il y en a un qui utilise son gros materiel quand c'est utile puis laisse faire le petit travail a un jardinier amateur

donc quand je pose des question sur l'utilisation du digestat c'est parce que ça fait partie de mon programme de remplacer les tas de fumier par un petit methaniseur

le probleme , c'est que quand je vante les avantage du methaniseur qui donne plus de valeur comme engrais que le fumier , je n'ai aucunne information pratique sur son utilisation , et ne peut pas coriger la desinformation qui montre du materiel enorme comme seule solution



Non non, il n'y a pas de malaise.

J'explique à la fois pourquoi je fais comme je fais, toujours dans une approche "système" : ce qu'on fait dépend de l'ensemble du système qu'on a, de l'environnement qui l'entoure, des connaissances et même des croyances !

Si j'étais dans la maison de mes parents, il y a aurait encore le vieil IH qu'utilise mon frère pour chercher du bois...

Reprenons :

- la méthanisation enlève du C, de l'H et un peu de S ; et pas mal d'énergie

- du point de vue fertilisant (au sens strict : apports d'éléments minéraux utilisés par les plantes), c'est à peu près kifkif, même si les masses "transportées" sont plus importantes s'agissant du digestat (le méthaniseur travaille en phase liquide, alors qu'un fumier "fume" = évapore de l'eau et perd de du C et de l'H, donc se "concentre" !). D'où la nécessité d'être en "circuit court" - cela n'a pas de sens de transporter du digestat sur des dizaines et des dizaines de km !

[A noter, les plantes tirent le C et l'H de l'air - CO² - et de l'eau - H2O ; ces éléments, qui constituent environ 90 % de la matière sèche végétale, et qui sont donc de très loin les éléments les plus nécessaires aux plantes, on ne s'en préoccupe pas comme "éléments fertilisants". Cela modifie juste les masses de la matière organique après digestion. La seule perte, c'est le S !]

- dans ton digestat, il reste les résidus ligneux, qui ne sont pas attaqués par les bactéries méthanogènes (qui s'occupent de la cellulose) ; cela se retrouve dans le digestat (qui est donc "pâteux") ; la méthanisation n'a pas une énorme influence sur l'humification, ces résidus ligneux se transformant dans le sol sous l'influence des champignons, en humus stable (comme le ferait la partie ligneuse contenue dans le fumier)...

- sous réserve d'empêcher l'évaporation de l'ammoniaque (idéalement par injection), digestat et fumier sont finalement... kif kif (au soufre près). Sauf que dans le fumier l'énergie est partie en "fumée". Dans la méthanisation, on récupère et on valorise ! Et sauf que le digestat est largement désodorisé (car le H²S est parti !).
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 25/06/16, 15:09

chatelot16 a écrit :je ne veut pas te convaincre d'utiliser du gros materiel chez toi ... mais on parle de jardin de fainéant , et je suis encore plus fainéant que toi ... ça ne me fatigue pas de voir tourner du matériel motorisé


J'ai oublié : outre le fait d'être paresseux, le "Potager du Paresseux" se veut aussi le plus écologique possible (sans verser dans l'ayatollisme vert). Quand même !!! Même si je n'ai pas l'ambition d'être un khmer vert, je fais des efforts !

Donc pas / peu de ressources minières et/ou fossile. Engrais, carburants et dérivés des énergies (engrais azotés, pesticides de synthèse)...

Même si j'en parle peu, j'ai aussi le "bilan carbone" en mémoire.

Et je pense que mon Potager est un "puits de carbone", du fait qu'il stocke de la matière organique sous forme d'humus stable... qui séquestre du CO².

Donc même si je me déplace en voiture (downsizée ; GPLisée), même si je tonds avec une tondeuse thermique (une partie des surfaces seulement, le reste étant "réserve de biodiversité"), je veille au bilan carbone de la maisonnée ! Donc moins il y a de machines, et mieux je me porte.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 26/06/16, 10:28

"Habiller" ses plants !

Pour ceux d'entre vous qui veulent repiquer des plants "racines nues", c'est-à-dire des plants qui n'ont pas été semés dans des godets, qu'on va arracher pour les replanter ailleurs, il est conseillé de les "habiller".

Drôle de terme pour une opération qui consiste à couper le tiers terminal des radicelles (petites racines) et une partie des feuilles ! Peut-être parce que "s'habiller", c'était se préparer (pour une fête) ? On "prépare" les plants, donc...????

a) Pourquoi couper le bout des radicelles

- parce que sinon, il est difficile de planter le plant avec les radicelles qui descendent "droit" dans le trou de plantation ; les radicelles trop longues s'accrochent toujours ; du coup, le bout de la radicelle, celui par lequel celle-ci va se développer, a de fortes chances de se retrouver "tournée vers le haut", obligeant le plant à faire une contorsion ; si les racines vont toujours vers le bas, c'est qu'au bout, s'accumulent des hormones végétales de croissance, qui "dirigent" la radicelle [c'est la même chose pour les tiges, mais dans l'autre sens !] ; bref donc, si la radicelle est "remontée", cette hormone ne s'accumule pas au bon endroit... Tout est plus difficile pour la plantule, même si elle s'en sortira (la nature est résiliente et supporte bien des chocs) !

- mais on est alors inquiet pour les conséquences de cet acte chirurgical ! Or, il faut savoir que de toute façon, les radicelles sont meurtries. En arrachant, on n'arrache jamais les "poils absorbants", qui se forment juste derrière le bout de la radicelle. C'est eux qui font l'essentiel de l'absorption des eaux et des éléments minéraux (en association avec les mycorhizes, s'il y en a !). Ces poils sont microscopiques, plus fins qu'un cheveux, et ne résistent pas à l'arrachage. En somme, les radicelles meurtries que l'on voit sur un plant arraché ne sont pas la partie absorbante "utile" du plant.

DSC_0036.JPG
Radicelles avec poils absorbants (vue 1)


DSC_0038.JPG
Radicelle avec poils absorbants (vue 2)


On voit ici très nettement des radicelles et, juste après la "pointe", la zone de poils absorbants. Une sorte de "feutrage"... C'est là que se fait l'essentiel de l'absorption par les plantes. C'est chacun de ces "poils du feutrage" qui est amplifié par les mycorhizes, qui viennent ici se connecter aux racines et multiplient l'efficacité de l'absorption (les surfaces) d'un facteur 100 !

[Au passage, ça y est, j'ai fait l'acquisition d'un set de tubes d'extension pour faire des "macros" - et je suis plutôt satisfait techniquement !]

Je résume : en arrachant les plants, on arrache les poils absorbants ; les radicelles sont "endommagées", autant raccourcir les radicelles pour qu'elles soient mise en place le plus proprement possible, la pointe vers le bas. En quelques jours, cela sera "réparé". Cela va de soi, mais je le précise quand même : cela ne s'applique pas aux plants en godets, qu'on n'arrache pas...

b) Pourquoi couper une partie des feuilles ?


Dès lors, le fait de couper les feuilles va de soi : la plantule étant, durant quelques jours, clairement handicapée pour absorber l'eau dont elle a besoin, on va protéger ses réserves en réduisant la transpiration. De toute façon, ces premières feuilles ne seront pas celles qu'on va récolter (dans le cas de légumes dont on récolte les feuilles). Souvent, lorsqu'on les laisse, elles sont "grillées".

Pour ma part, j’habille assez sévèrement des plantes comme les laitues (et je mange les tendres bouts de feuilles !), en coupant une bonne moitié à 2/3 des feuilles présentes. Il suffit de ne pas toucher le "coeur" (bourgeon terminal)...

Bien sûr, il vaut mieux repiquer dans l'après-midi qui précède l'annonce de deux ou trois jours de pluie ou couverts...

Sinon, bien arroser et ombrager (des cagettes posées à l'envers pendant 2 ou 3 jours font l'affaire).
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?




par Did67 » 26/06/16, 15:37

Vidéo de présentation

Une vidéo de présentation "Le Potager du Paresseux : késako ? (qu'est-ce ?)" vient d'être mise en ligne.

https://youtu.be/uK4NT7q9V2c

Bon, elle est assez statique. Mais cela se veut une introduction. Elle devrait être suivie de plein de vidéos plus techniques, plus précises, plus "vivantes"...

J'ai opté pour une édition "HD 1080". Je ne sais si c'est trop long à télécharger au visionnage ? [pour moi, en effet, l'upload va prendre du temps !]
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