Alimentaire, le jeûne: possibilités et limites sur la Santé

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
janic
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Alimentaire, le jeûne: possibilités et limites sur la Santé




par janic » 16/02/12, 08:35

Utilisé pendant des millénaires, le jeûne est tombé en désuétude et ne revient sur le devant de la scène médiatique et médicale que lors de jeûnes contestataires, destinés à faire pression, et considérés comme une forme lente de suicide.
Or le jeûne selon une expression souvent utilisée, c'est "une purification totale" et dont la destination initiale est au contraire l'inverse d'un lent suicide.
Les médecines naturelles souvent appelées hygiénistes ont rétablit ce rôle important de nettoyage en profondeur quasi impossible par d'autres moyens ou en tout cas sur une période beaucoup plus longue et sans des résultats identiques d'ailleurs.
Internet regorge d'informations sur les jeûnes (je dis les car selon les philosophies sur celui-ci les approches peuvent être différentes voire contradictoires) donc pour les personnes intéressées par le sujet, voir déjà les opinions exprimées sur les forums et éventuellement, dans le limite de mes connaissances, je suis disposé à quelques explications complémentaires et peut-être contradictoires aussi.
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par antoinet111 » 16/02/12, 08:58

personnellement, je ne connais pas, selon toi, sur quelle durée, à quelle fréquence et à t-on le droit de boire?

Est-ce que le ramadan est une forme de jeûne?

et quand on a un boulot physique, doit-on attendre d'être en vacance?
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par stipe » 16/02/12, 11:33

antoinet111 a écrit :personnellement, je ne connais pas, selon toi, sur quelle durée, à quelle fréquence et à t-on le droit de boire?

Est-ce que le ramadan est une forme de jeûne?

et quand on a un boulot physique, doit-on attendre d'être en vacance?

http://fr.wikipedia.org/wiki/Je%C3%BBne

oui, pendant le ramadan on jeûne, parfois (pour certains) pendant le carême ou, Yom Kippour pour les juifs aussi.

De mon avis, il est conseillé d'adapter un peu son activité physique lors d'un jeune.
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par janic » 16/02/12, 11:40

Antoine bonjour
personnellement, je ne connais pas, selon toi, sur quelle durée, à quelle fréquence et à t-on le droit de boire?

Un véritable jeûne c’est une abstinence totale d’alimentation solide et liquide, mais seulement accessible à quelques rares personnes ou en état d’impossibilité d’absorption comme après avoir avaler un acide ou un coma (bien que ce défaut d’hydratation est actuellement compensé par des sondes) Donc ce que l’on appelle jeûne est en fait un jeûne hydrique. La quantité de liquide a absorber est intimement dépendante du besoin d’élimination et donc importante en début de jeûne et diminue avec la durée de celui-ci (en tenant compte aussi des dépenses physiques, de la chaleur ou du froid,etc…) Donc lorsque l’on ne mange pas il se produit un besoin incessant de boire qui peut aller d’un litre à 3 ou 4 litres par jour d’eau plate peu minéralisée ou d’infusions plus agréables à prendre.
Est-ce que le ramadan est une forme de jeûne?

Le ramadan à deux sens :
a)Religieux, donc je ne puis m’exprimer sur ce sujet
b)Physiologique.
Sur le plan physiologique le ramadan est un faux jeûne en ce sens qu’il ne fait que déplacer une consommation alimentaire de la journée à la nuit. Ensuite, il provoque une dérèglement de l’horloge biologique pendant cette période et supprime la partie la plus importante de la récupération nerveuse qui se fait en début de nuit. Plus la surconsommation alimentaire grasse et sucrée qui couronne le tout.
Mais cela ne serait grave qui si ce mode était définitivement adopté sur le reste de l’année ; donc on peut considérer cela comme un moment de fête comparable aux autres moments festifs d’autres cultures.
et quand on a un boulot physique, doit-on attendre d'être en vacance?

Tout dépend de la durée du jeûne et de l’importance de cette activité physique. Sur une journée même avec un boulot très physique ce jeûne hydrique se ressent à peine. Au contraire même cette activité favorise les éliminations par les émonctoires (urine, sueur) et l'énergie utilisée ordinairement à la digestion devient disponible pour cette activité.
Sur 2 à 3 jours il en est de même sauf qu’il faut veiller aux éliminations régulières par les selles au besoin avec un laxatif ou une purge saline (donc il faut se documenter au préalable sur le sujet). Par contre les vacances sont favorables puisqu’aucune obligation professionnelle ne peut venir contrarier ce plan jeûne et l’esprit y est plus concentré, c’est évident.
pour ce qu'il en est de carême (je n'y connais rien en matière de religions) je pense que c'est une diète, une simple réduction alimentaire et probablement de même pour Kippour!?
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par sen-no-sen » 16/02/12, 12:05

Le jeûne du Ramadan, comme il est pratiqué dans nos pays industrialisé peut avoir des effets néfaste pour la santé.
En effet les jeunes générations on tendance à adopté des régimes trop gras et surtout trop sucré.
Le corps est mis en diète la journée, est quand arrive le soir la faim est calmé a grand coup de soda(coca etc..) et de produit gras(fast food), ce qui produit des pics glucidique qui peuvent avoir des conséquences importante à la longue sur la santé, comme le diabète par exemple.
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par antoinet111 » 16/02/12, 12:06

ok, par contre, concernant la durée et la fréquence dans l'année?

Merci des tes réponses.
Tony.
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par janic » 16/02/12, 14:00

ok, par contre, concernant la durée et la fréquence dans l'année?

Merci des tes réponses.
Tony.

difficile à dire car cela dépend de l'objectif visé et de la durée du jeûne lui même! si c'est une journée elle peut être répétée chaque semaine. Si c'est 3 jours par exemple une fois par mois et si c'est plus une fois par trimestre, par semestre ou par an; en tant qu'entretien. Mais on est plus dans le ressenti que dans une logique rationnelle.
Si c'est pour des raisons thérapeutiques, ça dépend de ce que l'on désiré "soigner": cela dépend des réactions de l'organisme qui peuvent parfois être désagréables voir impressionnantes (c'est pourquoi il faut être accompagné par un jeûneur expérimenté dans ces cas là) et c'est ce qui fait peur aux néophytes et aux toubibs qui n'y connaissent rien.
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Re: Alimentaire, le jeûne: possibilités et limites sur la Sa




par dedeleco » 16/02/12, 14:44

janic a écrit :Utilisé pendant des millénaires, le jeûne est tombé en désuétude et ne revient sur le devant de la scène médiatique et médicale que lors de jeûnes contestataires, destinés à faire pression, et considérés comme une forme lente de suicide.
Or le jeûne selon une expression souvent utilisée, c'est "une purification totale" et dont la destination initiale est au contraire l'inverse d'un lent suicide.
Les médecines naturelles souvent appelées hygiénistes ont rétablit ce rôle important de nettoyage en profondeur quasi impossible par d'autres moyens ou en tout cas sur une période beaucoup plus longue et sans des résultats identiques d'ailleurs.
Internet regorge d'informations sur les jeûnes (je dis les car selon les philosophies sur celui-ci les approches peuvent être différentes voire contradictoires) donc pour les personnes intéressées par le sujet, voir déjà les opinions exprimées sur les forums et éventuellement, dans le limite de mes connaissances, je suis disposé à quelques explications complémentaires et peut-être contradictoires aussi.


Comme d'habitude, janic ne met aucune référence à des études scientifiques, qui prouvent l'intérêt de ne pas trop manger, comme celle que j'ai mise hier très récente qui montre sur les souris, que de jeuner de façon rapide, est aussi efficace que la chimiothérapie sur certains cancers !!!![/b]
Cette étude a donné l'idée de ce post à janic qui pense absolument à l'instinct de façon non scientifique.

http://medicalxpress.com/news/2012-02-s ... -mice.html


Short fasting cycles work as well as chemotherapy in mice
February 8, 2012 in Cancer

Man may not live by bread alone, but cancer in animals appears less resilient, judging by a study that found chemotherapy drugs work better when combined with cycles of short, severe fasting.
Even fasting on its own effectively treated a majority of cancers tested in animals, including cancers from human cells.

The study in Science Translational Medicine, part of the Science family of journals, found that five out of eight cancer types in mice responded to fasting alone: Just as with chemotherapy, fasting slowed the growth and spread of tumors.

And without exception, "the combination of fasting cycles plus chemotherapy was either more or much more effective than chemo alone," said senior author Valter Longo, professor of gerontology and biological sciences at the University of Southern California.

For example, multiple cycles of fasting combined with chemotherapy cured 20 percent of mice with a highly aggressive type of children's cancer that had spread throughout the organism and 40 percent of mice with a more limited spread of the same cancer.

No mice survived in either case if treated only with chemotherapy.

Only a clinical trial lasting several years can demonstrate whether humans would benefit from the same treatment, Longo cautioned.

Results from the first phase of a clinical trial with breast, urinary tract and ovarian cancer patients, conducted at the USC Norris Comprehensive Cancer Center and led by oncologists Tanya Dorff and David Quinn, in collaboration with Longo, have been submitted for presentation at the annual meeting of the American Society of Cancer Oncologists.

The first phase tests only the safety of a therapy, in this case whether patients can tolerate short-term fasts of two days before and one day after chemotherapy.

"We don't know whether in humans it's effective," Longo said of fasting as a cancer therapy. "It should be off limits to patients, but a patient should be able to go to their oncologist and say, 'What about fasting with chemotherapy or without if chemotherapy was not recommended or considered?"
In a case report study with self-reported data published in the journal Aging in 2010, 10 cancer patients who tried fasting cycles perceived fewer side effects from chemotherapy.

Longo stressed that fasting may not be safe for everyone. The clinical trial did not enroll patients who already had lost more than 10 percent of their normal weight or who had other risk factors, such as diabetes. Fasting also can cause a drop in blood pressure and headaches, which could make driving and other activities dangerous for some patients.

In mice, the study found that fasting cycles without chemotherapy could slow the growth of breast cancer, melanoma, glioma and human neuroblastoma. In several cases, the fasting cycles were as effective as chemotherapy.

Fasting also extended survival in mice bearing a human ovarian cancer. In the case of melanoma, the cancer cells became resistant to fasting alone after a single round, but the single cycle of fasting was as effective as chemotherapy in reducing the spread of cancer to other organs.

For all cancers tested, fasting combined with chemotherapy improved survival, slowed tumor growth and/or limited the spread of tumors.

As with any potential cancer treatment, fasting has its limits. The growth of large tumor masses was reduced by multiple fasting and chemotherapy cycles, but cancer-free survival could not be achieved. Longo speculated that cells inside a large tumor may be protected in some way or that the variety of mutations in a large mass may make it more adaptable.

But he noted that in most patients, oncologists have at least one chance to attack the cancer before it grows too large.

Longo and collaborators at the National Institute on Aging studied one type of breast cancer in detail to try to understand the effects of fasting.

While normal cells deprived of nutrients enter a dormant state similar to hibernation, the researchers saw that the cancer cells tried to make new proteins and took other steps to keep growing and dividing.

The result, Longo said, was a "cascade of events" that led to the creation of damaging free radical molecules, which broke down the cancer cells' own DNA and caused their destruction.

"The cell is, in fact, committing cellular suicide. What we're seeing is that the cancer cell tries to compensate for the lack of all these things missing in the blood after fasting. It may be trying to replace them, but it can't," Longo said.

The new study bookends research published in Proceedings of the National Academy of Sciences in 2008.

In that study, Longo's team showed that fasting protected normal cells against chemotherapy, but did not address the effect on cancer cells. The study also focused only on a single cancer and chemotherapy drug.

The new study on a range of cancers and common chemotherapy drugs extends the 2008 results by showing that fasting not only fails to protect cancer cells, but makes them more vulnerable.

Longo called the effect "Differential Stress Sensitization" to reflect the change in vulnerability between normal and cancerous cells.

Longo's interest in fasting and cancer grew from years of studies on the beneficial effects of fasting in yeast and other organisms. He showed 15 years ago that starved yeast cells enter a stress-resistant mode as they wait for better times.

By contrast, he said, the mutations in cancer cells come at a cost, such as a loss in adaptability to diverse environments. For example, Longo found that yeast genetically modified to resemble cancer cells become much more sensitive to several toxins.

"A way to beat cancer cells may not be to try to find drugs that kill them specifically but to confuse them by generating extreme environments, such as fasting that only normal cells can quickly respond to," Longo said.

Provided by University of Southern California
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par dedeleco » 16/02/12, 15:24

Lire les bases à savoir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Je%C3%BBne
http://en.wikipedia.org/wiki/Fasting
Jeûne court : adaptation à l'absence de prise alimentaire sur une durée de douze heures à trois ou quatre jours. La sécrétion d'insuline diminue encore. L'épuisement des réserves de glycogène entraîne une baisse de la glycémie. La seule source de glucose de l'organisme devient la néoglucogenèse, qui fabrique du glucose à partir des acides aminés des protéines musculaires en produisant de l'urée comme déchet. L'excrétion de l'urée augmente donc. La cétogenèse se poursuit.

Durée maximale À terme, un jeûne provoque la mort du patient s'il dure au-delà de certaines limites. Elle varie selon les individus, et peut atteindre plus de 85 jours

Une expérience de jeûne alterné (un petit repas toutes les 12H ou toutes les 36H, sur 8 hommes et 8 femmes non obèses, pendant 22 jours) a montré2 :

Une perte de poids de 4,1% et de masse graisseuse de 2,5%.
La faim augmente le premier jour et reste forte.
Le métabolisme de base RMR et le quotient respiratoire (QR = CO2 produit / O2 consommé) sont restés stables 21 jours et le QR a diminué le 22e jour avec augmentation de l'oxydation du glucose de ≥15 G.
Le taux d'insuline a diminué de 57%.
Le taux de ghréline n'a pas changé de manière significative.
Conclusions : la faim persistante indiquerait « l'improbabilité de continuer ce régime pendant des périodes prolongées ». "Ajouter un petit repas un jour de jeûne peut rendre cette approche à la restriction diététique plus acceptable"2.

L'organisme humain, jeune et en bonne santé, peut supporter un jeûne total, mais n'excluant pas la prise de boisson, pendant une période assez longue, jusqu'à trois mois si la personne est bien portante et bien nourrie au moment du début du jeûne. La physiologie s'adapte rapidement en mobilisant les réserves internes, mais, assez vite (en moyenne au bout de 3 à 4 semaines), la poursuite du jeûne comporte des risques importants, notamment sur le rythme cardiaque vers la fin. Un suivi médical est vital au moins à partir de la 4e semaine, plus ou moins régulier suivant l'état de santé, les conditions du jeûne et la nature des réserves au départ.

Les animaux qui pratiquent l'hibernation jeûnent de facto pendant cette période de faible activité.

Although some fasting methods use juice or various amounts of food, the health of such methods is questionable, according to Dr. Joel Fuhrman. A true fast, he contends, consists of an intake solely of water, and can last (healthily) for extended periods of time when undertaken with the correct knowledge. Any fasts of such nature should be preceded and followed by a healthy diet, and should also be supervised by a knowledgeable physician to make sure that deficiencies of any nutrients do not take place and detract from the healthful benefits of such a fast.[50]

There are also recent studies on mice that show that fasting every other day while eating double the normal amount of food on non-fasting days can lead to improved insulin and blood sugar control, neuronal resistance to injury, and general health indicators. Punctuated fasting diets produced superior improvements compared with mice on 40% calorie restricted diets. Alternate-day calorie restriction may prolong lifespan[53] and attenuate diseases associated with inflammation, oxidative stress and aging.[54] Fasting has been shown to be an effective treatment for hypertension.[55]

Many fasting protocols are used by integrative medicine practitioners as part of alleged detoxification or cleansing diets.

Fasting can be dangerous when the body is not able to perform gluconeogenesis. If the body is not in ketosis, then the brain and vital organs (which can burn either glucose or ketones) need 800 calories a day to have ample glucose. If less than 800 calories a day are consumed (such as from stored and converted glucose), the brain and vital organs are deprived of necessary glucose, causing damage and, eventually, death. Ideally, therapeutic fasts should be supervised by experienced health care practitioners

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par antoinet111 » 16/02/12, 15:31

Merci pour les ref Dédé, et pour l'info sur les cancers, ça peut etre utile. :?:

Il n'est arrivé parfois par pur hasard de ne pas manger durant un à deux jours. Il est vrai que dans les jours suivant, j'ai ressenti un sentiment de bien être et de bonne santé.

mais rien de quantitatif.
Je fait des sports de combat, et je pense qu'il y a un effet cumulatif, d'ailleurs, le sport est connu comme étant un facteur fort de création de neurones.

en fait c'est cool, tu maigri avec le sport, tu élimine avec le jeûne, et en te collant des pêches, tu deviens intelligent!!!


:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
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