Steve Jobs est mort. Apple en deuil. Quel avenir?

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Christophe
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Steve Jobs est mort. Apple en deuil. Quel avenir?




par Christophe » 06/10/11, 10:18

Finalement il est mort plus rapidement que je ne le pensais (je lui laissais 6 mois de "survie" après sa démission). A 56 ans c'est vraiment moche.

La courbe de l'action est particulièrement intéressante: Mac n'a jamais vraiment décollé en informatique mais a su s'imposer (et exploser) dans les ipods et smartphones et surtout le business model monté autour (= rien n'est gratuit ou presque)...probablement suite au retour de Steve en 1997 dans la firme!

Tous les possesseurs d'iphone ou autre ipad vont-il verser une larme?

Pas sur car Apple a surtout réussi à vous faire acheter du software qui était gratuit avant (et qui l'est encore chez d'autres: Android...et autre) et à forcer au renouvellement sans cesse du hardware pour forcer au renouvellement du matériel. (les différences entre les iphone depuis le 3Gs sont-elles vraiment utiles pour avoir à changer de machine à chaque sortie?). Jouant bien évidement la carte de la "frime" sociale un max pour doper ce renouvellement. (un iphone ca sert essentiellement à être mis sur la table au café, me trompe-je? :D )...

Donc Apple dirigé par un génie? Oui mais cela dépend du point de vue. Pour un geek, un fan des technologies, un directeur du developpement ou du marketing ou un trader, sans aucun doute, pour un gestionnaire de DEEE beaucoup moins (quoique déchet is business...), pour un écolo ou quelqu'un qui fait attention à ce qu'il consomme et achète...je vous laisse deviner...

Quel avenir pour Apple sans Steve Jobs ?

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Steve Jobs, cofondateur et ex-CEO d'Apple, est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi. Lors de sa démission, des questions sur l'avenir de l'entreprise s'étaient posées. Florilège.

Comment remplacer Steve Jobs aux manettes ?

Tim Cook, son successeur, peut compter sur une solide équipe de direction mise en place par Jobs lui-même : le designer de génie Jonathan Ive, l'as du marketing Phil Schiller et le patron de l'iPhone, Scott Forstall. Quelques heures après l'annonce du départ de Steve Jobs, Apple a mis à jour sur son site institutionnel l'organigramme des 8 hommes forts qui entourent Tim Cook.

Une équipe qui a fait ses preuves en 2009 pendant l'absence de Steve Jobs et au début de cette année. Cet été, le groupe a même enregistré les meilleurs résultats de son histoire, alors que Steve Jobs n'était pas aux commandes. Si la direction d'Apple a fait la démonstration de ses capacités à remplacer temporairement le big boss, il lui reste à faire fructifier cette expérience pour tenir dans la durée.

Apple peut -il se passer de la personnalité emblématique de Steve Jobs ?

Steve Jobs, un patron mythique, un patron visionnaire. Steve Jobs, un patron indissociable d'Apple. Et Apple est-il indissociable de Steve Jobs ? C'est la grande inconnue. Au quotidien, le cofondateur d'Apple suivait le développement des produits du début à la fin, et il était le seul à avoir une vision d'ensemble des projets.

Le groupe de Cupertino peut-il se passer à long terme de l'esprit de conquête de Steve Jobs, de sa vision stratégique, de sa créativité, et de son mode de management pointilleux et autocratique ? La question demeure.

Que deviendra l'identité de la marque Apple ?

Sans Steve Jobs, qu'adviendra-t-il de tout ce qui fait la force de la marque Apple ? Il a érigé le culte du secret en véritable méthode de marketing, qui diffuse une aura attrayante autour des produits de la firme à la pomme. A l'image des grandes stars du show business, Apple a ses aficionados et ses détracteurs. Le goût du secret, qui semblait inhérent à la personnalité de Steve Jobs, explique pour un bonne part le succès des produits Apple…

Comment réagira la concurrence ?

L'annonce du retrait d’abord, puis du décès de Steve Jobs suit d'importantes annonces en provenance de la concurrence, qui laissent présager d'un grand chambardement du marché du mobile. HP, qui opère un virage à 180° pour s'orienter vers les services et les logiciels, Google qui rachète Motorola, autant de bouleversements stratégiques qui rebattent les cartes du secteur de l'Internet mobile. Un défi de plus à relever pour le successeur de Steve Jobs : trouver sa place dans le nouveau paysage en train de se dessiner.

Apple sera-t-il toujours aussi performant ?

Même s'il est encore trop tôt pour mesurer l'impact sur le futur d'Apple, «la prochaine génération des produits d'Apple, voir celle d'après, sont déjà dans les cartons», précisait voici peu l'analyste Rob Enderle. Méticuleux, Steve Jobs n'avait pas programmé son départ sans élaborer un plan de charge stratégique pour les mois, voir les années à venir. On imagine sans peine que le calendrier de sortie des prochains produits de la firme à la pomme est déjà au point. Les craintes quant aux performances après le retrait puis le décès de son patron et cofondateur semblent écartées. Dans un premier temps.

L'Expansion.com


Source: http://trends.levif.be/economie/actuali ... 193754.htm
Dernière édition par Christophe le 06/10/11, 12:27, édité 1 fois.
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par Christophe » 06/10/11, 11:47

Les 10 commandements de Steve Jobs par Le NouvelObs : http://hightech.nouvelobs.com/actualite ... -jobs.html

Différemment, tu penseras

"Think different !" Rien n’incarne mieux "l’esprit Jobs" que sa campagne de publicité d’octobre 1997. Steve Jobs vient de reprendre les rênes d’un Apple en perdition. Il commande à l’agence TBWA/Chiat/Day une affiche et des clips télévisés où défilent les photos en noir et blanc de géants de la science, de la politique ou des arts. Aucun produit Apple n’apparaît dans ces pubs, seulement le logo d’alors : une pomme multicolore.

D’Albert Einstein à Martin Luther King, du Mahatma Gandhi à Pablo Picasso, Jobs choisit lui-même ses "héros", et ce texte qui sonne comme un autoportrait : "En hommage aux fous. Aux rebelles. Aux fauteurs de troubles… Ceux qui voient les choses différemment. Alors que certains les voient fous, nous voyons des génies. Parce que les gens qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde sont ceux qui le font."

Esthétique minimaliste, anticonformisme viscéral, ambition folle : né en 1955 d’un professeur de sciences politiques syrien et d’une mère célibataire qui a décidé de ne pas l’élever, la vie de Jobs, adopté à sa naissance par un couple de Californiens modestes, a été marquée par ces valeurs. C’est aussi cette (contre)culture qu’il a installée chez Apple.

Ta spécificité, tu cultiveras

La décision la plus iconoclaste et la plus identitaire de la firme de Cupertino est d’avoir toujours refusé de séparer le logiciel Mac OS de l’ordinateur lui-même.

Sous l’impulsion de son grand rival Bill Gates, le fondateur de Microsoft, la micro-informatique mondiale s’est structurée à la fin des années 1980 autour d’un autre standard – Windows – servant de cœur à une multitude d’appareils fabriqués par des constructeurs concurrents : hier IBM et Hewlett Packard, aujourd’hui Dell ou Samsung…

Convaincu de l’immense supériorité de ses produits, Steve Jobs, lui, a toujours refusé de vendre à autrui son Mac OS, le premier à utiliser des icônes conviviales, ensuite copiées par Windows. "J’ai toujours voulu posséder et contrôler la technologie primaire dans tout ce que nous faisons", confiera-t-il à "BusinessWeek?". Une attitude qu’il prolonge à l’ère internet.

La religion du produit, tu auras

Le rêve de Bill Gates était de mettre un ordinateur personnel dans chaque foyer, celui de Steve Jobs de construire des produits "démentiellement géniaux". Sans se soucier des attentes du marché : "La plupart du temps, les gens ne savent pas ce qu’ils veulent avant que vous le leur montriez !" Il fallait qu’Apple conçoive le produit capable de le bluffer lui-même.

Jobs n’aime cependant pas la technologie pour la technologie. Dans le couple des cofondateurs d’Apple, en avril 1976, l’inventeur fou, c’était "l’autre Steve"?: Wozniak. Jobs, lui, a eu l’art de transformer les trouvailles de son ami en produits utiles. "Il faut une culture très orientée produit, même dans une société de technologie", a-t-il toujours affirmé.

La beauté, tu honoreras

Dans sa première maison, à Palo Alto, le jeune Steve n’avait presque pas de mobilier, il couchait sur un matelas par terre, mais il accrochait aux murs des photos en noir et blanc signées Ansel Adams.

Son sens de l’esthétique s’exprime aussi bien dans la manière dont il se nourrit (il est végétarien), dont il s’habille, avec ses sempiternels polos noirs, dans le dessin de ses produits ou l’escalier de verre de ses Apple Stores. A ses débuts, Steve apportait ce souci de pureté jusque dans le design des circuits intégrés de ses Apple II, ou l’agencement de ses chaînes de montage !

A cette époque, l’idée même qu’un ordinateur doive être beau était saugrenue. Depuis 1998 et la ligne des iMac oblongs aux couleurs acidulées, c’est le designer britannique Jonathan Ive qui règne sur le look Apple. Mais, attention, pas question de faire joli pour faire joli ! La beauté des formes et des matériaux doit aussi être un gage de facilité d’utilisation. Elégance, sobriété, convivialité : capable de s’enthousiasmer pour le design d’une machine à laver Miele, Jobs a toujours gardé le point de vue de l’usager.

L’innovation, tu chériras

Comme beaucoup d’entrepreneurs de la Silicon Valley, Jobs vénère l’innovation. Il a toujours été le premier à se débarrasser des technologies qu’il estimait dépassées : les disquettes remplacées par des clés USB, ou la souris transformée en Trackpad… Question d’état d’esprit : "L’innovation n’a rien à voir avec la quantité de dollars que vous consacrez à la R&D […]. Ce n’est pas une question d’argent. Cela dépend des hommes, du leadership et de ce que vous avez pigé."

Apple est le seul acteur de l’informatique traditionnelle à avoir réussi son virage internet. Il a compris, avant tout le monde, que l’ère du PC appartenait au passé. Et il a su imaginer à la fois les outils internet et leur modèle économique : de la musique en ligne sur iPod à la multitude d’applications pour iPhone et iPad, sur lesquelles Apple touche une commission de 30%.

Ton sillon, tu creuseras

Le manque de compatibilité du Macintosh avec le monde des PC sous Windows a condamné Apple à une part de marché confidentielle, hier 3%, aujourd’hui environ 8%. Professant qu’il fabriquait des BMW… pas des Volkswagen, Jobs a toujours affecté de s’en moquer.

Encore fallait-il, pour que cela ne tue pas Apple, faire de grosses marges sur chaque produit. Ce qui est devenu vrai à partir de l’iMac. Ensuite, grâce au coup de génie de l’iPod-iTunes, Steve Jobs s’est octroyé 80% du marché du téléchargement légal de musique. Succès réédité avec l’iPhone, puis l’iPad.

L’"App Store" est une véritable vache à lait. Avec un bénéfice net de 7,7 milliards de dollars pour des ventes de 28,5 milliards sur le seul trimestre clos en juin 2011, Apple est une des entreprises les plus profitables au monde. Et son trésor de guerre s’élève à 76 milliards de dollars !

Tes propres magasins, tu développeras

La crise économique vide les magasins ? Pas les Apple Store. Les ventes des quelque 300 boutiques Apple sur la planète battent des records. En 2001, pourtant, pas un analyste ne pariait sur leur réussite. Les rares constructeurs informatiques à s’y risquer s’en étaient mordu les doigts.

Qu’importe. "Steve Jobs était persuadé que si les consommateurs pouvaient manipuler ses Mac, ils seraient conquis", dit l’analyste Tim Bajarin, de Creatives Strategies. Service de qualité, ambiance de cybercafé, Apple est le seul constructeur informatique chez qui l’on peut prendre rendez-vous pour faire réparer son appareil, ou s’en faire expliquer le fonctionnement.

L’échec, tu sublimeras

Steve Jobs ressemble à ces héros hollywoodiens secoués par les épreuves, mais qui ne s’avouent jamais vaincus. En 1985, il est viré d’Apple par John Sculley, le président qu’il avait lui-même recruté chez Coca-Cola. Il confessera plus tard aux étudiants de Stanford : "J’avais perdu ce qui était le centre de toute ma vie d’adulte et j’étais anéanti."

Pas pour longtemps : il créé NeXT Computer quelques mois plus tard, et rachète Pixar à George Lucas l’année suivante ! Même combativité, dix ans plus tard, quand il reprend les commandes d’un Apple moribond. Ou quand il apprend en 2004 qu’il est atteint par une forme rare de cancer du pancréas.

Sans compromis, tu dirigeras

"Hero-Shithead-Roller coaster?", littéralement «?Héros-Tête de merde-Montagnes russes?» : c’est l’expression inventée par les collaborateurs de Steve Jobs, pour décrire son style de management. Véritable dictateur, il règne sur une équipe aux ordres, transie d’admiration.

Délais impossibles, diktats sur les performances, contrôle absolu des détails… Les anciens d’Apple racontent des scènes d’insultes, d’humiliation et de licenciements, auxquels seuls les surdoués ont résisté. "Ce n’est pas toujours facile de travailler avec Steve", reconnaît Jay Elliot, ex-collaborateur d’Apple et fondateur de Migo Software. "On ne change pas le monde en étant gentil", aime à répéter le Français Jean-Louis Gassée, ex-numéro deux d’Apple.

Secret, tu resteras

Peu de patrons ont fait autant de unes de magazines. Pourtant, Apple est la seule entreprise au monde à ne jamais communiquer en dehors de ses annonces millimétrées pour ses produits et de grand-messes rituelles, où Steve Jobs fait son show devant une foule de fans triés sur le volet. Sinon, motus. Parler à la presse est un motif de licenciement.

En revenant chez Apple, Jobs avait affiché dans son bureau un poster de la Seconde Guerre mondiale : "Loose lips might sink ship" ("Le bavardage peut couler le navire"). Jobs lui-même ne s’est réellement livré qu’une fois, devant les étudiants du campus de Stanford. Son conseil : "Votre temps est limité, alors ne le perdez pas à vivre la vie de quelqu’un d’autre. Ne vous laissez pas piéger par le dogme." Et surtout : "Restez affamés, restez fous !"

L’Apple d’après-Steve saura-t-il le rester ? Le jour de sa nomination, son successeur désigné, Tim Cook, a promis à ses troupes : "?Steve a bâti une entreprise et une culture qui ne ressemblent à aucune autre dans le monde, et nous allons rester fidèles à cela – c’est notre ADN." Good luck !

Dominique Nora - Le Nouvel Observateur

Article publié dans le Nouvel Observateur du jeudi 1er septembre 2011
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par Christophe » 06/10/11, 12:21

Hommages en vidéo: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... lient.html

La plus intéressante est celle ci: http://www.dailymotion.com/video/xbj34m ... macin_tech

Remettez la dans son contexte: 1984 !
La synthèse vocale à cette époque c'était fort.

L'Amiga en avait aussi une mais c'était bien quelques années plus tard...
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par sherkanner » 06/10/11, 12:52

Steve Jobs et Bill Gates sont les deux personnages historiques qui ont permis la démocratiasation des PC aujourd'hui.

Steve Jobs en rendant le matériel peu onéreux et en ouvrant un segment nouveau. Ca arrive rarement quand même. Les ordinateurs étaient jusqu'alors réservés aux grosses entreprises jusqu'a présent et rien n'existait pour les particuliers. L'éclair de génie était de non seulement le rendre accessible mais également facile d'utilisation (utilisation de la souris et icones).
Bill Gates a quant a lui introduit un OS (operating system) compatible avec toutes les machines (honteusement copié de l'interface du Mac d'ailleurs). De cette facon, quelque soit l'ordinateur sur laquelle la personne travaille, elle n'est pas dépaysée.
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par Christophe » 06/10/11, 13:55

Tout à fait.

Je pense que le travail de Steve Jobs est bien plus admirable pour ce qu'il a fait dans les années 80 que dans le "marketing captif" qu'Apple a imposé à ses utilisateurs dans les années 2000...(surtout la 2ieme moitié avec l'iPhone...).

Évidement aujourd'hui quand on dit Apple tout le monde pense iPhone, iPad ou iPod...

Les analystes économistes penseront bien évidement l'inverse...

En 2010, j'ai failli acheter un macbook avant de m'apercevoir, à temps, de la supercherie Mac. A prix égal, quand on voit les performances par rapport ce que la concurrence fait sur PC/Linux...on tombe des nues.

Puis Apple a mis en place un même système d'achat à distance des logiciel que sur iPhone...donc tu penses acheter un Mac pré équipé mais en fait ce sont des démos (idem sur PC je sais mais moins "orienté" je pense)...

Beurk beurk !

Idem pour les iMac, bien que la supercherie soit moins flagrante...

Le seul avantage technologique des macbook sont leur silence et leur autonomie batteries, encore que pour les batteries c'est du pur "théorique"...

Pour 2 fois moins cher qu'un macbook aux performance ram et processeur en deçà, j'ai finalement pris un laptop Toshiba...avec graveur de bluray svp ! (même si j'en ai jamais gravé un et probablement jamais...j'ai mon graveur BR, nà!) !

Bluray ils connaissaient pas encore chez mac ! Et apparemment ils connaissent pas encore en 2011 :

"Bluray"

Aucun résultat ne correspond à votre recherche dans l’Apple Store.
Vérifiez que tous les mots ont été écrits correctement ou essayez d’autres mots-clés (plus généraux).


Ah si en 2 mots ils proposent un graveur LaCie externe aux couleurs mac: http://store.apple.com/be-fr/product/H1 ... TA4MTkyMjY

Super pour le pro mondial de l'intégration hardware !

:lol:
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par sherkanner » 06/10/11, 14:02

Les macs étaient intéressants a acheter tant qu'il y avait les processeur motorola (architecture CISC, processeurs G4 et G5). La il y avait encore une réelle supériorité.

Puis en 2006, motorla arrivait plus a monter en fréquence avec ses processeurs, donc Apple a décidé de passer en architecture RISC (x86) et donc a basculé chez intel. Et hormis le design que l'on paie au prix fort, ils ont perdu tout leur intérêt a mes yeux.
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par dedeleco » 06/10/11, 14:36

Pauvre Jobs, je suis bien triste, même si je n'ai admiré et acheté en 1979, que l'Apple de départ, véritable révolution, avec une ouverture et une adaptabilité qui a été oubliée dans le Mac !!

La multiplication des cancers est peut être amplifiée par la malbouffe, créée par les méthodes de marketing trompeuses à la Jobs, appliquées à l'agroalimentaire, aux OGM, semences, herbicides, pesticides, etc.., à tout ce que nous mangeons, inévitables pour envahir nos corps !!

Mangez naturel et bio et faites de l'exercice !!
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par sherkanner » 06/10/11, 14:49

On peux aussi mettre ses soucis de santé a sa jeunesse quelque peu débridée...
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par Christophe » 06/10/11, 15:05

Ben c'est qu'il aurait pu s'acheter de la bouffe bio...

Après je connais pas les facteurs de risques du cancer du pancréas, on lira donc: http://fr.wikipedia.org/wiki/Cancer_du_pancr%C3%A9as

Ils sont peu nombreux:

Facteurs de risque[modifier]

Les facteurs favorisants connus sont une pancréatite chronique (post-alcoolique, tropicale, ou dans le cadre d'une mucoviscidose) ou le tabagisme[2]. L'obésité est également un facteur de risque[3].

Des formes familiales existent[4] mais les gènes concernés restent inconnus.


ps: pour les abus, on a "tous" été jeunes (et alcoolique plus ou moins modérément le samedi soir) hein...non?
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par Christophe » 06/10/11, 15:42

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