Aluminium, notre poison quotidien

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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chatelot16
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par chatelot16 » 22/01/12, 23:01

bien sur que si il faut choisir entre 500 malade de l'aluminium des vacin et le nombre de victime de polio dyphterie tetanos qu'il y avait avant ces vacin ...

mais il n'y a pas a choisir puisque la solution sans aluminium existe ! et qu'on savait la fabriquer

le probleme est aussi de jeter le doute sur les vacin et de faire peur a tout le monde

les vaccins profitent a la santé generale ... meme ceux qui ne se vacinent pas aujourd'hui profitent de la presque eradication de bien des maladie , si on arrete de se vaciner par peur de l'aluminium , des maladie presque eradiqué vont reaparaitre
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Obamot
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par Obamot » 22/01/12, 23:07

Oui grand merci à Dedeleco pour cette première synthèse (comme quoi on peut se comprendre sans s'échanger des missiles!)

Chatelot: faut pas croire, les casseroles en aluminium on connaît ça en Valais... Elles ont eu très mauvaise réputation dans toutes les valées qui en utilisaient, puisqu'on a vu apparaître le goître qui disparu ensuite lorsqu'elles furent interdites et grâce à un apport d'iode qui rétablit la santé de la population => elles ont eu une influence que je ne saurais décrire, mais une chose est sûre, cuire dans de l'alu privait le corps de fer (plus de cuisson dans les cocottes en fonte... ou le fer se transmettait par osmose) ainsi la transmission de particules lors du nettoyage => faisaient que les dépôts alu qui restaient accrochés pouvaient aller directement dans les aliments cuits => et par osmose à cause des montées brutales et descente en température (même si l'alu est revenu en force par la suite, il n'était plus généralisé et les population se sont mis à consommer plus d'iode, la pathologie n'est pas revenue sous cette forme)

Maintenant on dit que l'alu sous certaines traces et formulations, permettrait dans l'oligothérapie, de lutter contre l'anxiété, l'insomnie, ou le stress.
http://www.helptel.info/MedNatOligotherapie.aspx

Je n'ai pas étudié la question, parce que les chercheurs que j'ai connu, m'ont affirmé qu'il était plutôt nuisible.
Peut-être qu'il en faut quelques traces, mais comme il est en présent en surabondance, il n'est peut-être pas nécessaire d'aller le chercher :mrgreen:
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dedeleco
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par dedeleco » 23/01/12, 03:02

La prise de certains médicaments, comme le lithium, l’amiodarone ou des médicaments permettant de traiter l’hyperthyroïdie. Les traitements à base d’iode radioactif, une chirurgie ou une radiothérapie de la thyroïde sont également d’importants facteurs de risque d’hypothyroïdie.
Une consommation très abondante d’aliments goitrogènes. Certains aliments, lorsqu’ils sont consommés en très grande quantité, inhibent la captation de l’iode par la glande thyroïde, ce qui empêche la fabrication normale des hormones thyroïdiennes. On les appelle aliments goitrogènes, car ils peuvent à terme causer un goitre. Les aliments goitrogènes sont les crucifères (le chou de Bruxelles, le chou, le chou-fleur, le brocoli, le chou frisé, les feuilles de moutarde, le rutabaga, le radis, le raifort, etc.), le manioc, les patates douces, les graines de soya, les arachides et le millet. Cette situation survient très rarement dans les pays industrialisés, car les gens ont accès à une grande variété d’aliments4. Dans certaines régions d’Afrique, en revanche, le manioc est un aliment de base. Il y est considéré comme une des causes majeures de goitre. Généralement, la cuisson lui enlève cet effet goitrogène.


Certains produits diminuent l’absorption des hormones synthétiques. Il faut attendre 4 heures avant d’ingérer des produits qui contiennent du soya, des suppléments de calcium ou de fer, ou des antiacides qui contiennent du calcium ou de l’hydroxyde d’aluminium.

Hypothyroïdie

L'hypothyroïdie est la conséquence d'une faible production d'hormones par la glande thyroïde, cet organe en forme de papillon situé à la base du cou, sous la pomme d'Adam. L'influence de la glande thyroïde sur l'organisme est majeure : son rôle est de réguler le métabolisme des cellules de notre corps. Elle détermine donc la vitesse du moteur de nos cellules et organes. Chez les personnes hypothyroïdiennes, ce moteur fonctionne au ralenti.
Au Canada, environ 1 % des adultes souffrent d'hypothyroïdie. Les personnes âgées sont les plus touchées par la maladie, la proportion grimpant jusqu'à 10 % dans cette population.
Au milieu des années 1970, des chercheurs canadiens ont mis au point un test sanguin qui permet aux médecins de dépister la maladie. Depuis, le test est pratiqué de manière systématique chez les nouveau-nés afin de prévenir les conséquences irrémédiables que la maladie entraîne chez eux.6
Les hormones thyroïdiennes sous contrôle
Les deux principales hormones sécrétées par la thyroïde sont la T4 (tétra-iodothyronine ou thyroxine) et la T3( triiodothyronine). Toutes deux comprennent le terme iodo , l'iode étant indispensable à leur formation. Leur rythme de production dépend d'autres glandes. Normalement, l'hypothalamus commande à l'hypophyse de produire l'hormone TSH (pour thyroid stimulating hormone ), qui stimule la thyroïde à produire des hormones. On peut détecter une hypo ou une hyperactivité de la glande thyroïde en mesurant le niveau de TSH dans le sang. Lorsqu'il n'y a pas suffisamment d'hormones thyroïdiennes dans le sang (T4 et T3), l'hypophyse réagit en sécrétant davantage de son hormone stimulante : le niveau de TSH est élevé. À l'inverse, lorsqu'il y en a trop, l'hypophyse sécrète moins de TSH.
Causes
De nos jours, les deux principales causes de l'hypothyroïdie sont les suivantes :
- une thyroïdite de Hashimoto, maladie auto-immune qui provoque la destruction de la glande thyroïde par des anticorps; les scientifiques ne peuvent expliquer ce qui déclenche cette maladie;
- un traitement qui altère la glande thyroïde : à l'iode radioactif pour soigner une hyperthyroïdie, ou chirurgical pour enlever la glande thyroïde (en raison d'un nodule, d'une tumeur ou d'un cancer).
Autres causes
- Une infection bactérienne ou virale de la glande thyroïde.
- Une carence ou un excès d'iode, un oligo-élément minéral nécessaire à la vie et à la production des hormones thyroïdiennes T4 et T3 (rarement vu dans les pays industrialisés).
- Un défaut congénital qui se traduit par un développement anormal de la glande thyroïde.
- La prise de certains médicaments; le plus courant étant le lithium, prescrit en cas de troubles psychiatriques.
- Un mauvais fonctionnement de l'hypophyse, glande qui régule la thyroïde par l'hormone TSH (représente de 1 % à 5 % des cas).
N.B. Avant les années 1920, la carence en iode était la principale cause d'hypothyroïdie. Depuis qu'on ajoute de l'iode au sel de table - pratique née au Michigan en 1924 en raison des nombreux cas d'hypothyroïdie - cette carence est rare dans les pays industrialisés. Ailleurs dans le monde, ce type de carence toucherait 200 millions de personnes.
Complications
Non traitée, la maladie peut avoir des conséquences graves à long terme. Chez l'adulte, un myxoedème, une forme grave d'hypothyroïdie, se développe alors : les symptômes s'aggravent, les membres deviennent enflés, une anémie apparaît et certaines conditions (une infection, le froid, un traumatisme, etc.) peuvent entraîner une perte de conscience ou un coma. Chez l'enfant non traité, on observe des retards importants de croissance physique et de développement intellectuel, appelés communément crétinisme. Un traitement adéquat entrepris rapidement permet généralement d'éviter les complications et les séquelles.
Symptômes
Les symptômes de l'hypothyroïdie sont liés au ralentissement du métabolisme. Ils dépendent de la sévérité de la déficience en hormones thyroïdiennes. Certaines personnes ne présentent aucun symptôme; le bilan sanguin permettra alors d'établir un diagnostic.
Chez l'adulte
Un manque d'énergie et de la fatigue.
Une grande sensibilité aux températures froides.
Un gain de poids (modeste) inexpliqué malgré un faible appétit.
Un rythme cardiaque ralenti.
Une irritabilité et parfois un état dépressif.
Des crampes et des raideurs musculaires.
De la constipation.
Un visage enflé.
Une peau pâle et sèche.
Des cheveux secs, une perte de cheveux.
Une voix grave et enrouée.
Des périodes menstruelles irrégulières et des menstruations plus abondantes.
Une confusion et des pertes de mémoire.
Un goitre (parfois), qui crée une enflure à la base du cou.
Un niveau élevé de cholestérol sanguin.
Chez l'enfant
Un retard de croissance.
Un sommeil inhabituel.
De la constipation.
Des difficultés d'alimentation.
Des pleurs enroués chez le nourrisson.
Personnes à risque
Les femmes de plus de 40 ans.
Les personnes qui ont des antécédents familiaux de maladie auto-immune.
Les femmes diabétiques seraient plus à risque de développer l'hypothyroïdie durant ou après une grossesse.
Facteurs de risque
L'exposition au plomb. L'hypothèse que l'exposition au plomb affecte les fonctions de la glande thyroïde à long terme a été testée. Une étude effectuée auprès de 47 travailleurs d'une fonderie de laiton, dont 12 étaient considérés comme hypothyroïdiens, a démontré une corrélation avec de hauts taux de plomb dans le plasma sanguin.1 Toutefois, une autre étude a démontré une absence de corrélation.10
Prévention
Actuellement, le point de vue médical conventionnel considère qu'il est impossible de prévenir l'hypothyroïdie. Tout de même, par le diagnostic précoce et une alimentation qui fournit tous les nutriments essentiels au bon fonctionnement de la glande thyroïde, on pourrait parvenir à prévenir l'aggravation de la maladie, dépendamment de sa cause.
Diagnostic précoce
Comme l'hypothyroïdie peut survenir à tout âge, le médecin qui la soupçonne chez un patient peut lui faire passer un test sanguin pour mesurer le taux de TSH.
Alimentation
Pour produire les hormones thyroïdiennes (T4 et T3), la thyroïde requiert de la tyrosine (un acide aminé), de la vitamine B6, de l'iode, du fer, du cuivre (sans excès), du zinc et du sélénium. Les acides gras essentiels assureraient aussi le bon fonctionnement de la glande thyroïde. Une déficience en un de ces éléments peut entraîner un ralentissement de la fonction de la thyroïde. Il s'agit de faire les tests de laboratoire pour identifier la ou les déficiences et les combler pour rétablir la fonction.
Précisions concernant l'iode
La relation entre l'iode et la thyroïde est complexe. Comme la thyroïde a besoin d'iode pour produire ses hormones, une carence peut engendrer une hypothyroïdie. Mais cet déficience est très rare dans les pays développés en raison de l'usage de sel de table iodé. Les fruits de mer, les algues (comme le varech) et les plantes qui croissent dans un sol riche en iode en contiennent aussi naturellement. Il n'est pas du tout certain qu'une supplémentation en iode soit nécessaire ou utile pour la plupart des gens. En cas de thyroïdite de Hashimoto, la carence en iode n'est pas en jeu. Un excès pourrait même être dommageable et interférer avec la médication. Vous devriez consulter un médecin ou un professionnel compétent en nutrition avant d'utiliser de la teinture d'iode ou un supplément iodé.
Les aliments goitrogènes
Certains aliments peuvent nuire à la fonction de la thyroïde en rendant l'iode inutilisable. On appelle ces aliments les goitrogènes, puisqu'ils peuvent provoquer le développement d'un goitre s'ils sont consommés abondamment : les crucifères (les choux de Bruxelles, le chou, le chou-fleur, le brocoli, le chou frisé, les feuilles de moutarde, le rutabaga, le radis, le raifort, etc.), le manioc, les patates douces, les graines de soya, les arachides et le millet. Généralement, la cuisson de ces aliments inactive les goitrogènes. Au Zaïre, par exemple, le manioc (un aliment de base) est considéré comme une des sources majeures de goitre. Mentionnons que dans une diète équilibrée, ces aliments ne causent pas l'hypothyroïdie.8
Traitements médicaux
L'hypothyroïdie est une maladie qui ne se traite pas, mais se contrôle très bien en prenant quotidiennement de la thyroxine (T4) de synthèse en comprimé (Levothyroid ou Synthroid). La majorité des personnes devront toutefois en prendre quotidiennement durant toute leur vie.
Le traitement médical corrige rapidement les symptômes de l'hypothyroïdie chez les adultes, mais pour traiter des personnes âgées, il est préférable d'y aller progressivement pour ménager le coeur.
Un suivi médical (comprenant un test sanguin), généralement chaque année, est nécessaire pour vérifier que la dose administrée convient toujours aux besoins de l'organisme. Les besoins en hormones thyroïdiennes peuvent varier selon l'âge et d'autres facteurs, comme la grossesse.
Comment prendre les médicaments
Prendre le médicament chaque jour, à la même heure.
Prendre le médicament toujours de la même manière, avec ou sans nourriture, afin d'obtenir un apport constant en hormones.
Éviter de le prendre avec des produits contenant du lait de soya, puisque le soya diminue l'absorption de la thyroxine. L'eau, le lait de vache ou le jus d'orange sont recommandés.
On recommande d'attendre quatre heures avant d'ingérer les produits suivants, qui interfèrent avec l'absorption de la thyroxine8,9 :
- les produits qui contiennent du soya;
- les suppléments de calcium, de fer ou les antiacides qui contiennent du calcium ou de l'hydroxide d'aluminium.




http://www.passeportsante.net/fr/Maux/P ... yroidie_pm
http://www.passeportsante.net/fr/Maux/P ... m_sommaire
http://www.naturosante.com/rubriques/co ... imp.php?51
http://forum.aufeminin.com/forum/fitnes ... roide.html
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par janic » 23/01/12, 08:19

chatelot bonjour
pour éviter de dévier, je renvoie ma réponse sur le sujet des vaccinations.
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par janic » 23/01/12, 15:17

je viens de voir l'émission en différé (il est possible de la revoir sur pluzz) Il est intéressant de voir que chacun à un regard différent. L'enquête porte en grande partie sur les dangers des vaccins sans négliger pour autant les autres facteurs. Le Pr de Créteil précise bien que la myophacyte à macrophages se retrouve chez tous ceux qui ont été vaccinés avec cet adjuvant: 86% avec vaccin hépatite B; 50% avec antitétanique; 20% avec hépatite A chez des sujets considérés comme sensibles à l'hydroxyde.
Le rapport avec l'apport extérieur comme les autres sources d'intoxication par l'aluminium n'a pas été évoqué ce qui souligne la spécificité de cet empoisonnement. L'exemple donné de la dame utilisant des anti-transpirants voit le taux redescendre jusqu'à la normale au bout de 8 mois, par contre les personnes vaccinées sont touchées neurologiquement pour le reste de leur vie. Aussi lorsque je lis que dede suppose que la non utilisation d'alu par ailleurs compense l'alu dans les vaccins, je me pose des questions sur l'état de conscience réelle de ces dangers spécifiques.
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par Obamot » 23/01/12, 17:11

:shock: Effarant!

Ça s'explique, puisque dans l'oligothérapie, bien que déconseillé: les traces d'aluminium que l'on retrouve dans des formules spécifiques ne sont pas injectées par intraveineuse comme avec les vaccins mais bien introduite à dose homéopathique par voie orale (et ensuite rejetées ou assimilé par l'organisme dans le processus de digestion!).

On en revient à l'idée de ne pas surcharger l'organisme! Donc contentez-vous du savon d'Alep, vous n'aurez pas de stress chimique avec les cosmétiques... Quant au reste... vous savez ce que vous faites et ce que vous mangez: à vous de choisir!
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