Un extrait édifiant par sa duplicité :
A titre d'exemple, des dérogations pourront porter sur des projets d'utilisation d'eau de pluie pour des usages domestiques dans des unités de distribution connaissant des difficultés d’approvisionnement en eau potable avérées sans solution alternative, pour lesquelles ont été préalablement :
- recherchées toutes les solutions de diversification des ressources en eau (exemple : interconnexions, dessalement d'eau de mer,…) ;
Il est bien connu que le dessalement de l'eau de mer est une opération simple, économique et à la portée de toute commune, , voire de particulier - surtout en montagne
En revanche, potabiliser l'eau de pluie est parfaitement irréalisable dans l'état actuel de la technique : on y trouve beaucoup plus de mazout, de métaux lourds et autres pesticides que dans l'eau de mer. Il est donc plus sage de l'interdire au nom du principe de précaution.
Bref : consommateurs, continuez à savourer béatement le cocktail de choronitrates distribué par la société privée de votre choix